Les effets pervers des parcs éoliens : appauvrissement des terres agricoles.Lettre de Madame la Maire de La Chaussée Sur Marne, conseillère régionale Grand Est, France.
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>> Les_effets_pervers_des_parcs_éoliens_.pdf
Les effets pervers des parcs éoliens : appauvrissement des terres agricoles.Lettre de Madame la Maire de La Chaussée Sur Marne, conseillère régionale Grand Est, France.
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Voir la video sur : youtube.com
>> Bruit des éoliennes à 700 m : les riverains témoignent
En cas de tempête, l éolien est inutilisable.Les éoliennes sont sécurisées et s'arrêtent quand les rafales de vent dépassent 90 km/h. C'est le cas lors du passage de la tempête Eleanor en Belgique.
Lire l'article sur : rtl.be
>> Les éoliennes s'arrêtent quand les rafales de vent sont trop fortes
La Chine vient d’inaugurer sa première autoroute à énergie solaire. Sur un tronçon long de deux kilomètres, les véhicules rouleront dorénavant sur des panneaux photovoltaïques.
Lire l'article sur : lenergeek.com
>> La Chine ouvre une autoroute solaire – Moniteur Automobile
Lire l'article sur : Ici.fr
>> Les images impressionnantes d'une éolienne de 260 tonnes arrachée par la tempête Carmen
Anyone who lives in England knows just how ubiquitous wind farms now are across the countryside.So it might come as a surprise to learn just how little power they actually produce.The Department for Business, Energy & Industrial Strategy has now published the detailed data for 2016. It shows that onshore wind farms in England produced only 5.7 TWh, out of a total generation in England of 241.8 TWh.In other words, the princely amount of 2%.
Lire l'article sur : notalotofpeopleknowthat.wordpress.com
>> Wind Farms In England Only Supply 2% Of Power
L'éolienne est une belle machine, mais qu'en est-il d'une centrale de plusieurs éoliennes et qu'en est-il de l'endroit où elle est implantée ? Cela se discute.
Lire l'article sur : friends-against-wind.org
>> L'éolienne est une belle machine, mais qu'en est-il d'une centrale de plusieurs éoliennes et qu'en est-il de l'endroit où elle est implantée ?
EDF a identifié un site potentiel pour le développement d’un parc éolien à Cardeilhac, près de Boulogne-sur-Gesse, dans le Comminges.Une commune de 230 habitants célèbre pour son massif forestier et son magnifique arboretum.
Lire l'article sur : ladepeche.fr
>> Eoliennes : un projet qui fait peur
J ’étais en mesure de démissionner ce matin », a déclaré, vendredi 22 décembre, Dominique Godefroy, président du Parc naturel marin (PNM) des estuaires picards et de la mer d’Opale, à l’issue d’une réunion du conseil de gestion du Parc, à Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais). En cause, le projet d’éoliennes en mer mené par Engie au large des côtes picarde et normande, sur lequel l’Agence française pour la biodiversité (AFB), qui chapeaute, entre autres, les neuf parcs naturels marins français, rendra un avis le 1er février 2018.
Lire l'article sur : courrier-picard.fr
>> Éoliennes en mer: le président du Parc naturel marin va rencontrer Nicolas Hulot
The impact of wind turbines on birds and bats exceeds tolerable levels recommended by nature authorities, and there is currently no solution to the problem.
Lire l'article sur : haaretz.com
>> Wind Turbines in Israel Kill Many More Birds, Bats Than Expected
According to Australia ’s Administrative Appeals Tribunal, wind turbines low-frequency noise and infra sounds are plausible pathway to cardiovascular disease.
Lire l'article sur : epaw.org
>> International alert: Wind turbine plausible pathway to cardiovascular disease
Les travaux de réalisation des infrastructures pour un parc éolien.
Lire l'article sur : eolienne.f4jr.org
>> Les travaux de réalisation des infrastructures pour un parc éolien.
Certains animaux semblent attirés par elles tandis que d’autres les fuient. Le nombre d’éoliennes à la Côte belge ne cesse d’augmenter.
Lire l'article sur : dhnet.be
>> Les éoliennes perturbent la faune marine
Lire l'article sur : leventtourne.org
>> Quand les éoliennes augmentent le CO2...
L'association des Hébergeurs Touristiques de l’Indre et des départements limitrophes (AHTI) vient de publier un sondage d’opinion qui apporte des éléments quantitatifs nouveaux sur l'impact de l’implantation d'éoliennes industrielles dans le choix d'une destination touristique où la nature est recherchée. L’enquête a été menée en 2017 auprès d’un corpus de 1280 touristes âgés de 18 ans et plus, accueillis en Gîtes et Chambre d'hôtes de l'Indre. Les résultats révèlent que 97% des touristes ne choisiraient plus ces gites touristiques si des éoliennes se trouvaient dans un environnement proche.
Lire l'article sur : epaw.org
>> Oui, les éoliennes font fuir massivement les touristes et menacent le PIB des espaces ruraux
Près de cinquante réclamations contre deux éoliennes vont être transmises par la Commune de Lincent à la Région wallonne.
Lire l'article sur : lavenir.net
>> Lincent: près de cinquante riverains se plaignent des éoliennes
La Jordanie a inauguré lundi dans le camp de réfugiés de Zaatari la plus grande centrale solaire au monde dans un tel lieu, espérant améliorer le quotidien des dizaines de milliers de Syriens qui y habitent.
Lire l'article sur : levif.be
>> La plus grande centrale solaire au monde dans un camp de réfugiés
Dans un communiqué transmis ce vendredi, le collectif départemental "Vent de sottise 71" rappelle que la production d'énergies éoliennes augmente indirectement la part d'émissions de gaz carbonique.
Lire l'article : lejsl.com
>> Pour "Vent de sottise 71", l'énergie éolienne augmente les émissions de CO2
Un avenir 100% ENR, nous sommes tous pour, a priori. Ou plus exactement nous sommes tous pour si « tout le reste est comme aujourd’hui » : on s’est débarrassé des combustibles fossiles, du nucléaire, et par ailleurs personne n’a froid l’hiver, ne manque de carburant pour se déplacer, ou ne voit son usine, son train ou son bureau à l’arrêt faute d’électricité pour que les machines fonctionnent, et tout cela ne coute pas plus cher. Qui serait contre ?
Lire l'article sur : jancovici.com
>> 100% renouvelable pour pas plus cher, fastoche ?
Jusqu’à présent, VdR s’était consacré à la défense « locale » des citoyens, en s’occupant du bruit et de quelques réglementations. Ce travail a porté ses fruits, mais en agissant sur le symptôme, pas sur le mal. Il semble déterminant d’orienter encore le débat, et d’ aller directement à la source du problème, à savoir l’interprétation erronée de la directive 2009/28/CE et ses abominables conséquences. Voici pourquoi. Les différents gouvernements régionaux et fédéraux belges accumulent les impasses, comme un bulldozer repousse la terre devant lui. Un bulldozer, à un certain moment, il doit lever sa pelle pour diminuer l’effort de poussée, limité par son moteur. Les gouvernement, eux, enfoncent la pelle. J’explique. On ne peut établir valablement des stratégies que si les solutions –ici hautement techniques-sont envisageables de manière raisonnable (à savoir à un cout acceptable, avec des matériaux suffisamment disponibles et de moyens technologiques accessibles). Le reste, c’est de magie infantile. A ce propos, il faudrait suggérer aux acteurs politiques d’être moins influencés par les dessins animés qui sont régulièrement proposés aux jeunes enfants (pour eux, c’est excusable). Le problème de la production future d’électricité n’est pas résolu. On peut supposer que les techniciens demeurent muselés et doivent se contenter de « suivre » autant que possible les aberrations qui leur sont imposées. La France, à cet égard, est exemplative. A part le salaire de la peur, rien ne justifie la mise à l’arrêt de 20 % du parc français. Ces mêmes instances confondent allègrement huit choses et produisent un bourbier dont ils ne peuvent sortir.
Ils confondent :
« production ENR » et consommation ENR » ,
« sortie du nucléaire » et « réduction de production de CO2 »,
« énergie renouvelable » et « indépendance énergétique »,
« énergie renouvelable » et « énergie pilotable »
Le tout résumé par :
« Remplacement des centrales nucléaires par des éoliennes ». Et advienne que pourra.
Le « système électrique » est un ensemble de trois composants essentiels :
Les unités de production,
Le système de transport,
Les unités de consommation.
A ce trio classique, vu l’aspect fatal des énergie extraites du vent et du soleil (la Nature donne ce qu’elle peut, quand cela lui convient pour assurer un équilibre global qui nous échappe), on rajoute une quatrième et une cinquième composante incontournable.
Les unités de régulation du réseau,
L’extension du réseau.
C’est notamment là que le bât blesse. Les unités de régulation doivent être des unités qui produisent nécessairement à la demande (pilotable). Elles peuvent être de deux natures, soit des unités de production directe à partir d’une autre source d’énergie (par exemple fossile, ce qui est le cas chez nous) soit des unités de stockage telles que les STEP (peu/pas extensible chez nous) et les (hypothétiques) batteries (voir l’essai – raté- d’Engie pour un microsystème de poche).
Le dimensionnement des unités de régulation est de même importance que les unités fatales.
Sans compter que les batteries posent un autre problème, à savoir la régulation de la fréquence (50 +- 0.1 Hz). C’est d’ailleurs sur ce problème que butent les Allemands pour pouvoir extraire l’énergie éolienne de leurs parcs en mer Baltique.
En gros, on ne remplace rien. C’est ce qui explique que si le coût de l’énergie électrique est « modéré » à la source, il n’en est pas de même du prix payé à la consommation, parce que celui-ci est grevé de toutes les charges liées à la modification du processus. Ce sont les consommateurs qui paient les extensions de réseau et les unités de régulation. Si on supprime les sources fatales et les unités de régulation, on se retrouve –à moindre prix- à une situation stable. Sans influence sensible sur le dieu-CO2.
Petite note : l’effacement de la consommation (mettre sa machine à laver en route plus tard) ne peut qu’avoir qu’un effet très marginal. Il faut que les trains (électriques) partent à l’heure, que les éclairages soient présents quand nécessaire, que les industries soient pourvues d’électricité quand elles doivent fonctionner. Ca, c’est non effaçable et ça représente l’écrasante majorité de la consommation. A moins de faire cuisine, lessive, vaisselle, douche exclusivement la nuit et le week-end parce qu’il y a moins de trains et que l’industrie est au moins ralentie (en espérant qu’il y ait soleil et vent, sinon ce sera pour le week-end prochain….Ou comme les Anciens, qui faisaient leur lessive deux fois par an, au début du printemps et à la fin de l’été…
Pour eux, la solution à tout est de se tourner vers le solaire et l’éolien. J-M Jancovici en a démontré l’actuelle impossibilité (actuel = sur une période de 10 ans) en produisant des valeurs chiffrées.
Dans leur dernier « accord » climat, ils veulent supprimer à terme les moteurs à combustion interne. D’un coup de plume (soyons moderne : de clavier) ils conduisent inéluctablement à se concentrer sur le véhicule électrique. Je n’ose songer au véhicule à voile (mais sait-on jamais…) ou au retour au cheval (ressource renouvelable, avec production directe de biocarburant gratuit à ramasser). Dans ce cas, dans les circonstances technologiques actuelles, on ne peut que se baser sur les accumulateurs et les piles à combustible pour les alimenter. Dans les deux cas, si les technologies sont au moins partiellement disponibles, les matériaux nécessaires ne le sont pas en quantité suffisante. S’il faut recourir à des accumulateurs à bord des véhicules, ceci repousse la production de base sur des centrales. Or, ces centrales mêmes posent déjà un problème.
C’est donc la création d’une nouvelle impasse.
Autre monumentale stupidité : le stockage de l’énergie du réseau dans les (innombrables) batteries des (futurs) véhicules électrique, sachant qu’un batterie est « morte » après environ 1000 cycles, soit environ 3 ans en usage normal, et moins d’un an si cet usage est envisagé. Ce ne sont pas des supputations : ce sont des données issues des technologies disponibles.
N’acceptez pas cela.
Lire l'article sur : jancovici.com
>> 100% renouvelable pour pas plus cher, fastoche ?
Alors que l’Europe ne dispose à l’heure actuelle que de peu d’acteurs dans la production de batteries pour voitures électriques, la Suède devrait bientôt accueillir la plus grande usine de batteries lithium-ion du Vieux continent, profitant ainsi d’un marché en pleine expansion. Le groupe Northvolt, à l’origine du projet, a en effet annoncé jeudi 19 octobre 2017, avoir choisi la Suède pour implanter une usine de batteries capable de rivaliser avec la « giga-usine » de Tesla aux Etats-Unis.
Lire l'article sur : lenergeek.com
>> La plus grande usine de batteries d’Europe verra le jour en Suède