>> Dans les anciennes mines, le grisou transformé en électricité
S’opposer à l’éolien on-shore, ce n’est pas s’abstenir d’une réflexion sur les énergies renouvelables, c’est simplement s’étonner de l’attitude du Gouvernement wallon.
Il y a peu, celui-ci admettait que ses objectifs éoliens ambitieux étaient "déraisonnables" (Paul Furlan) alors qu’en juillet 2013, pour la géothermie et la biomasse, il se contentait de quelques réalisations ponctuelles dans le décompte global des énergies renouvelables en Wallonie
Ne pas être dupe et bien se rappeler deux choses :
1. Le photovoltaïque et l’éolien sont à la fois intermittents (donc ingérables et pertubants sur les réseaux) mais visibles (important pour un politicien qui croit ainsi rassurer la population en visualisant son action)
2. La géothermie, la co-génération et la biomasse sont à la fois non-intermittents (gérables en ajustant la production à la consommation si on le souhaite, et donc non pertubants sur les réseaux) et sont invisibles (donc rapidement oubliés par la population, qui ne les associera plus à une politique).
Pourtant, ces trois autres sources d’énergie respectent la ruralité, elles sont sans impact sur le plan du patrimoine paysager, de l’immobilier, du tourisme, de la biodiversité et de la santé (pas de nuisances sonores, pas d’infrasons).
De plus, elles font appel à des savoir-faire beaucoup plus régionaux que les éoliennes (essentiellement allemandes, espagnoles et chinoises) ou les panneaux photovoltaïques (fabriqués maintenant pour la plupart en Chine).
Le choix de se focaliser sur l’éolien on-shore et sur le photovoltaïque, aux dépens des autres énergies renouvelables n’a jamais été motivé par le Gouvernement Wallon, mais s’explique par la pure démagogie et les bénéfices substantiels que procure la filière éolienne (subsides) pour les sociétés promotrices d’éolien, dont les Intercommunales wallonnes.
Alors que l’Europe ne dispose à l’heure actuelle que de peu d’acteurs dans la production de batteries pour voitures électriques, la Suède devrait bientôt accueillir la plus grande usine de batteries lithium-ion du Vieux continent, profitant ainsi d’un marché en pleine expansion. Le groupe Northvolt, à l’origine du projet, a en effet annoncé jeudi 19 octobre 2017, avoir choisi la Suède pour implanter une usine de batteries capable de rivaliser avec la « giga-usine » de Tesla aux Etats-Unis.
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>> La plus grande usine de batteries d’Europe verra le jour en Suède
Agro-Bio Tech et l’université Texas A&M s’unissent pour chercher ensemble une valorisation non-énergétique de la biomasse. À Gembloux, on se focalise sur l’extraction d’une molécule à haute conduction électrique.
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>> LULg_trouve_un_partenaire_au_Texas_pour_mieux_valoriser_la_biomasse_.pdf
Bonne nouvelle pour la planète : les alternatives aux énergies fossiles (éolien, solaire, l'hydroélectricité...) vont continuer leur percée d'ici à 2022, avec le solaire pour fer de lance, souligne l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans . Mais l'Europe peinera à suivre le rythme des autres grandes régions du monde.
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>> Les énergies vertes vont croître plus rapidement partout, sauf en Europe
La Wallonie ambitionne d’atteindre 13% d’énergie renouvelable d’ici 2020 et Coretec Energy est engagé dans l’atteinte de cet objectif.
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>> Du fumier et des déchets agricoles pour produire de l'électricité à OCHAIN
Alors qu’on la jugeait peu attrayante il y a encore quelques années, la méthanisation revient sur le devant de la scène avec un nouveau modèle énergétique : la micro-méthanisation. Plus petites, plus agiles et moins coûteuses, ces unités de production modestes commencent à séduire de plus en plus de clients, en particulier des agriculteurs mais aussi les investisseurs d’éco-quartiers citadins qui souhaitent développer de nouvelles sources d’énergie verte. La moins glamour des énergies renouvelables a peut-être trouvé là un moyen de s’imposer comme une alternative fiable avec laquelle il faudra compter dans le mix énergétique de demain.
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>> Micro-méthanisation : une opportunité énergétique sérieuse ?
À Francfort, tous les constructeurs communiquent à renfort de grands plans stratégiques sur le développement de l’électrique, tout en défendant le diesel et en présentant toujours plus de SUV.
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>> Au_royaume_du_diesel_.pdf
La métropole de Toulouse a inauguré jeudi 7 septembre 2017, un nouveau réseau de chaud et de froid unique en France dans le quartier de la Cartoucherie. Alimenté à 100% par la combustion de déchets, ce réseau achemine l’eau chaude dans des canalisations jusqu’à des sous-stations qui peuvent en fonction des besoins, transformer par absorption cette eau chaude en eau froide, et offrir aussi bien de la chaleur l’hiver que de la fraîcheur l’été.
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>> Toulouse : un réseau de chaud et de froid alimenté à 100% par des déchets
Des scientifiques aux Etats-Unis et en Corée du Sud ont mis au point une nouvelle fibre pouvant générer de l'électricité lorsqu'elle est étirée ou vrillée, selon une étude publiée jeudi.
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>> Création d'une "fibre" pouvant produire de l'électricité
Après les déchets industriels, agricoles et domestiques, les eaux usées sont elles aussi destinées à participer à la transition énergétique des collectivités locales. Le processus de valorisation énergétique des eaux d’égouts, mis en place dans une piscine municipale parisienne et inauguré le 5 octobre 2016, laisse en effet présager un développement croissant des échangeurs thermiques dans les sous-sols des agglomérations urbaines pour une plus grande efficacité énergétique des installations publiques.
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>> Innovation : quand l’eau des égouts produit de l’énergie
Un coup de peinture sur les routes contre le réchauffement climatique? C'est la technologie en apparence iconoclaste mais prise très au sérieux par les experts en écologie que teste actuellement Los Angeles.
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>> Peindre la route en blanc pour faire baisser la température en ville
Vous disposez d’un bout de rivière ou d’un cours d’eau sur votre terrain privatif et souhaitez l’exploiter pour produire de l’énergie propre et renouvelable ? C’est aujourd’hui tout à fait possible et même recommandé si vous désirez investir dans une installation à forte rentabilité et voir votre facture d’électricité diminuer pour de bon. Le gouvernement encourage désormais fortement la mise en place de petites ou micros centrales hydrauliques dédiées à l’autoconsommation d’énergie verte chez les particuliers via l’allocation de crédits d’impôts à hauteur de 50% sur l’investissement matériel et d’une TVA à 5,5% sous conditions.
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>> La micro-hydroélectricité comme solution d’électricité domestique ?
Le Power-Plane, sorte de gros cerf-volant conçu par des ingénieurs néerlandais, récupérera la force des vents en altitude et la transmettra, via des câbles, à des générateurs installés en mer. Le secteur de l'éolien a le vent en poupe aux Pays-Bas ! Après l'ouverture, en mai, d'un parc en mer comprenant quelque 150 turbines, voilà que la start-up néerlandaise Ampyx Power vient de présenter un concept aussi novateur qu'étonnant pour récupérer l'énergie du vent.
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>> Des drones bientôt testés pour produire de l'électricité
Les ingénieurs de «X», compagnie d’Alphabet (Google), dévoilent un projet qui pourrait stocker l’énergie à un prix inférieur à celui des accumulateurs lithium ion. S’il arrive à terme, ce projet pourrait bien accélérer, voire même révolutionner la transition énergétique.
Lire l'article sur lavenir.net :
>> Comment stocker l’énergie renouvelable? Du sel et de l’antigel pour concurrencer les batteries lithium ion
On l’oublie un peu vite, mais les usages du pétrole ne se limitent pas au seul marché énergétique : même s’il est très utilisé en tant que combustible dans les secteurs des transports et du chauffage, il est aussi une ressource très prisée par les industriels qui l’utilisent pour fabriquer du plastique, des cartes de crédit, des cires, des chewing-gums et autres biens de consommation ordinaire. Or la pollution liée au pétrole le rend de plus en plus hostile aux yeux des défenseurs de l’environnement. Et dans un contexte où la transition énergétique se traduit aussi par un changement des habitudes de consommation énergétique, l’avenir du pétrole est plus que jamais incertain. Pour préparer l’après-pétrole, une entreprise allemande a mis au point un carburant de synthèse capable de le remplacer : le Blue Crude.
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>> Blue Crude : le pétrole de demain ?
Considéré comme une alternative propre et durable pour le stockage des énergies renouvelables intermittentes, l’hydrogène reste toutefois encore assez peu compétitif au regard des coûts de production qu’il implique. Un manque d’efficacité et de compétitivité auquel les chercheurs de l’Institut de recherche suisse Paul Scherrer (PSI) pourraient avoir trouvé une solution. Selon les résultats d’une étude publiée lundi 17 juillet 2017 dans la revue scientifique Nature Materials, l’utilisation de nanoparticules de perovskite permettrait d’augmenter de manière significative les performances du processus d’électrolyse de l’eau. Explications.
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>> Stockage à l’hydrogène : un nouveau catalyseur efficace et bon marché
Reportage de La Libre Belgique sur le développement d'une unité de biométhanisation citoyenne à Ochain. Interview de Grégory Racelle, agriculteur, Alain Damay de la coopérative "Emissions Zéro".
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>> Ochain énergie : Une unité de bio méthanisation citoyenne
La pose de la première pierre d'une usine d'hydroliennes de l'ex-DCNS marque le coup d'envoi industriel d'une nouvelle filière. Une première mondiale! La toute nouvelle filière hydrolienne française, assurée par Naval Energies, la nouvelle branche de Naval Group (ex-DCNS), installe sa première usine sur le port de Cherbourg-en-Cotentin (Manche). Le leader mondial des énergies marines renouvelables (EMR) entend y déployer son site d'assemblage et de maintenance d'hydroliennes.
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>> Naval Energies lance la filière de l'hydrolien
La construction de la première usine d'assemblage d'hydroliennes en France a débuté vendredi avec la pose de la première pierre lors d'une cérémonie à Cherbourg (Manche), a-t-on appris auprès de Naval Energies-OpenHydroh, son co-concepteur avec EDF Energies Nouvelles.
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>> Cherbourg: l’usine d'assemblage d’hydroliennes en construction
De la même manière que l’énergie photovoltaïque a beaucoup évolué ces dernières années, l’éolienne est en passe de connaître d’importants changements. Augmentation de la productivité, adaptation à de nouveaux terrains, résolution des certaines problématiques liées aux structures actuelles : les chercheurs planchent actuellement à de nouveaux modèles pour imaginer la technologie éolienne de demain. Parmi les différents projets envisagés, les chercheurs américains envisagent de bâtir une éolienne gigantesque dont la taille dépasserait celle de la Tour Eiffel. Et si ce monstre technologique n’est pas encore une réalité, il annonce une nouvelle génération d’éoliennes, bien différentes de celles que nous connaissons à l’heure actuelle.
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>> L'éolienne de demain : à quoi ressemblera-t-elle?
Même si l’Hexagone est encore en réflexion en matière de géothermie par rapport à ses voisins européens (comme la Suisse), plusieurs territoires français ont décidé de combler leur retard et d’investir dans cette énergie renouvelable. C’est notamment le cas de l’Alsace qui a développé plusieurs projets de géothermie depuis ces deux dernières années. A Strasbourg, la ville en est même à tester une nouvelle technique d’exploitation : la géothermie de surface. Plusieurs bâtiments du quartier de la ZAC Etoile fonctionnent déjà grâce à cette énergie.
Lire l'article sur lenergeek.com :
>> La géothermie de surface se développe timidement en France