Voir les fichiers sur : thewindpower.net
>> Un fichier pour les parcs éoliens.
Industrie éolienne
À peine 50% de l'énergie renouvelable achetée en Belgique est produite localement. Les fournisseurs belges complètent en fait leur propre capacité de produire vert en achetant des "labels" au niveau européen, rapporte Le Soir.
Au total, l'électricité verte représente:
◾26 % de la fourniture en Wallonie
◾29 % en Flandre
◾45 % à Bruxelles
À lire également: Mettons le cap sur davantage d'énergie éolienne en mer du Nord belge!
La demande en électricité verte en Belgique est supérieure à la capacité de production belge. Pour compenser et répondre à la demande des clients, les fournisseurs belges achètent des "labels" via un système européen.
Chaque fois qu'un producteur produit 1 MWh d'électricité verte, il reçoit un label de garantie d'origine. Il peut ensuite vendre ce label à un fournisseur européen
Le client qui a souscrit un contrat "100 % vert" est donc assuré que, quelque part en Europe, l'équivalent de sa consommation a été produit de manière renouvelable.
→ La Belgique à la traîne dans les renouvelables
Ces labels ne sont pas nécessairement un moteur au développement du renouvelable. Leur nombre sur le marché européen est supérieur à la demande. Pourquoi? Dans certains pays scandinaves, d'où provient 38 % de l'électricité verte achetée en Belgique, les consommateurs se moquent du label 100 % vert: ils savent qu'ils produisent assez d'électricité verte pour couvrir leurs besoins. Leurs labelsse retrouvent en masse, et à faible prix, sur le marché continental.
Lire l'article sur : lecho.be
>> 38% de l'électricité verte achetée en Belgique provient des pays scandinaves
La Belgique vend deux fois plus d’électricité verte qu’elle n’en produit. La ruse : le rachat de labels qui permettent de verdir l’électricité. Mais qui ne soutiennent pas le développement du renouvelable pour autant.
Lire l'article sur : lesoir.be
>> Electricité: l’illusion des contrats «100% vert»
Lire également le pdf :
>> Electricité_l_illusion_des_contrats_100_pour_100_vert.pdf
Voir la vidéo sur : youtube.com
>> Ce que vivent au quotidien les habitants de Rhein-Hunsrück
Un projet d’installation de 8 à 10 éoliennes était envisagé par la société Nordex France, à cheval sur les territoires des communes de Vers-en-Montagne et Valempoulières. Alain Gavignet, maire de Valempoulières, et Émile Bezin, maire de Vers-en-Montagne, s’étaient montré favorables au projet. Un mât de mesure a été installé en mai 2017, pour évaluer le potentiel du vent. Mais deux contraintes ont poussé la société à abandonner le projet : le manque de vent et la présence de rapaces milans royaux.
Lire l'artile sur : leprogres.fr
>> Jura : Des milans royaux et pas assez de vent : le projet d’éoliennes abandonné
Eolien : la relève des communes
Christophe Leroy
Journaliste
28/03/18 à 15:02 - Mise à jour à 15:02
Source: Le Vif
Quatre ans après le rejet massif d'une carte éolienne wallonne, la Ville de Genappe lance un projet similaire à l'échelle de son territoire. Pour réconcilier les citoyens avec des projets de parc plus adaptés. Peut-elle inspirer d'autres communes ?
Consensus. Eoliennes. En Wallonie, ces deux mots sont de parfaits antonymes. Pour les promoteurs, la question n'est d'ailleurs pas de savoir si leur projet de parc sera frappé par un recours, mais quand - et dans quel état - il en réchappera. La Région, elle, a maintes fois sous-estimé l'ampleur de cette contestation. Rétroacte douloureux : en juillet 2013, le gouvernement wallon adopte un cadre de référence pour le grand éolien, fixant un objectif de production de 3 800 gigawattheures (GWh) à l'horizon 2020, ainsi qu'une série de normes, plus ou moins contestées. Mais à l'époque, les critiques les plus virulentes portent sur un autre pan de la stratégie wallonne : une cartographie positive de zones de développement éolien, censée identifier les sites susceptibles d'accueillir de futurs parcs.
Mal annoncé, mal ficelé, ce projet de carte soumis à enquête publique, truffé d'erreurs méthodologiques selon des académiques, sera finalement torpillé de toutes parts, fin 2013. Depuis, aucun politique n'a osé retenter une expérience de pareille ampleur. La Wallonie octroie donc des permis sur dérogation, sans lignes directrices, hormis les quelques normes indicatives du cadre éolien. "Au cas par cas", pour reprendre l'expression politiquement correcte. Quitte à passer outre l'avis du collège communal et du fonctionnaire délégué de la Région wallonne. Comme si la coercition devenait, peu à peu, une fatalité dans ce processus défaillant. Au risque de souffler sur les braises encore chaudes de 2013.
Budget maximal : 100 000 euros
Et si l'alternative émanait des communes ? La Ville de Genappe compte réussir là où la Wallonie a échoué il y a quatre ans : établir une cartographie précise du potentiel éolien pour son propre territoire - et quelques kilomètres au-delà - d'une superficie de 90 km². Le cahier des charges, pour lequel une ligne budgétaire maximale de 100 000 euros est réservée, a été voté ce mardi 27 mars au conseil communal, malgré le "non" du groupe Ecolo, dans l'opposition. Il s'agit d'une première en Wallonie, à laquelle un comité citoyen a été associé en amont. Cette cartographie participe à un plan d'action local visant à réduire de 40 % les émissions de CO2 à l'horizon 2030. "Elle va nous permettre d'intégrer des contraintes propres à notre territoire, qui sont déjà le fruit d'une discussion entre la commune, les associations et divers experts", souligne Jean-François Mitsch, auteur de la motion éolienne et conseiller communal indépendant à Genappe.
Plutôt que de subir les projets de parcs déposés par des promoteurs, la commune veut donc reprendre la main, en identifiant les sites potentiels pertinents à ses propres conditions, concertées avec les citoyens, et non sur la base de tractations entre un opérateur et un propriétaire de terrains agricoles. Le bureau d'études sélectionné aura 120 jours pour rendre ses conclusions, en intégrant plusieurs paramètres : une norme de bruit plus restrictive que le seuil wallon, des tailles de mât éventuellement inférieures, les possibilités en zone forestière ou sur d'autres sites pour le moment occupés par des lignes à haute tension... "Nous ne voulons pas développer l'éolien de manière anarchique, commente Gérard Couronné, le bourgmestre de Genappe (MR). Les quatre demandes déposées chez nous portent toujours sur le même site. Je suis persuadé qu'il en existe d'autres sur notre territoire."
Reste, ensuite, à concrétiser un ou plusieurs projets de parcs éoliens sur les zones concernées. "Cette méthode implique de lancer une initiative publique avec un cahier des charges et une mise en concurrence des promoteurs", précise Jean-François Mitsch, à l'image des concessions pour les parcs en mer. D'emblée, deux questions se posent, si l'intérêt des développeurs de parcs se confirme. Comment compenser les éventuelles pertes de valeur foncière ou immobilière ? Et surtout, que faire en cas de blocage ? La réponse sera éminemment politique. D'après l'élu indépendant, ex-PS, il faudra oser ouvrir le débat sur des expropriations pour cause d'utilité publique, comme les autorités le font déjà pour des lignes à haute tension, des cabines électriques, des bassins d'orage... "L'incidence des projets sera compensée par un contrôle accru et un retour financier plus important au bénéfice de la collectivité", plaide Jean-François Mitsch
Hormis cette issue plus polémique, le principe de la cartographie pourrait séduire d'autres pouvoirs locaux, lassés par les combats incessants contre certains promoteurs. Sollicitées par Genappe, les communes limitrophes n'ont toutefois pas répondu à l'appel. A Hannut, en province de Liège, le bourgmestre Manu Douette (MR) avait déjà plaidé, en 2016, pour une cartographie à l'échelle supracommunale. "Mais nous n'avons pas été entendus par la Région", indique-t-il. Depuis, la commune s'est donc limitée à fixer des critères plus contraignants que la Wallonie sur son territoire, notamment sur la distance minimale des parcs. "La démarche de Genappe est positive, c'est un pavé dans la mare, poursuit Manu Douette. Nous allons dans le même sens, mais d'une autre façon."
"Double emploi"
Pour Benjamin Wilkin, secrétaire général de l'Association pour la promotion des énergies renouvelables (Apere), "une cartographie avait beaucoup de sens à l'échelle régionale, mais pas au niveau communal. C'est du double emploi et une perte de temps. D'autant que la contestation reste possible, même dans ces conditions. Les sites pertinents, on les connaît déjà. Ce dont on manque, c'est de projets, pas d'études." De son côté, Cécile de Schoutheete, chargée de mission chez Inter-Environnement Wallonie, souligne le caractère positif de la démarche de Genappe, faute d'un cadre régional plus clair. "Mais si la planification ne repose que sur des réglementations communales, il y aura des problèmes." Tant en termes de lisibilité que de sécurité du cadre légal, soumis aux aléas des changements de majorité.
A Genappe, cette étude pourrait être la première étape avant un inventaire pour les autres filières renouvelables, pour la mobilité et les économies d'énergie. Dans une commune farouchement hostile à l'éolien, une cartographie trop stricte pourrait tout autant constituer l'arme de blocage ultime à l'encontre du moindre projet. De quoi compliquer encore davantage la lente progression vers l'ambition wallonne.
Quelque 15.000 éoliennes terrestres devraient fonctionner d'ici à 2023, couvrant la quasi-totalité des régions françaises. Un rouleau compresseur qui n'est pas du goût de tout le monde. Enquête sur ces nouveaux Don Quichotte.
Lire l'article sur : lesechos.fr
>> Des rapaces d'un nouveau genre écument la France - 15000 éoliennes dans les plus beaux paysages de France.
Région Wallonne Plan d’adaptation 2015-2022 31 janvier 2015 - Mise à jour du Plan d’Adaptation 2014-2021
Lire l'article sur : elia.be
>> Région Wallonne Plan d’adaptation 2015-2022
En 2017, la croissance de la production énergétique mondiale a été dominée par les carburants fossiles, notamment par un retour en force du charbon. En conséquence, les émissions de CO2, qui étaient assez stables depuis trois ans, ont augmenté de 1,4 % l’année dernière. Il s’agit là des principaux constats du nouveau rapport annuel de l’Agence internationale de l’énergie (IEA) sur le statut mondial de l’énergie et des émissions de gaz carbonique, qui montre une dégradation de presque tous les indicateurs.La demande mondiale d’énergie au augmenté de 2,1 % en 2017 selon les estimations préliminaires de l’IEA, soit le double du taux de croissance enregistré en 2016. La demande a atteint 14 050 tonnes d’équivalent pétrole (TEP) en 2017, alors qu’elle n’était que de 10 035 TEP en 2000. Les carburants fossiles ont fourni 70 % de la production additionnelle en 2017, contre le quart pour les renouvelables et 2 % à peine pour le nucléaire. Les carburants fossiles représentent encore 81 % de la production mondiale d’électricité, un chiffre qui est stable depuis près de 30 ans.
Lire l'article sur : energieetenvironnement.com
>> Les émissions mondiales de CO2 repartent à la hausse
Le secrétaire d'État à la Mer du Nord Philippe De Backer planche actuellement sur une révision du plan d'aménagement des espaces marins en vue d'identifier dès 2020 de nouveaux espaces pour implanter des éoliennes, a-t-il indiqué mercredi à Ostende, à l'occasion des Belgian Offshore Days, un salon du secteur. Actuellement, le parc éolien Rentel (42 mâts au large d'Ostende) est en construction, tandis que le Northerpark est prévu pour l'an prochain, avant le Seastar et le Mermaid. Si ces projets se terminent comme prévu avant 2022, la quasi totalité des concessions auront ainsi abouti."La Mer du Nord jour un rôle crucial dans la transition énergétique. Les prix sur le marché international sont en train de chuter et en Belgique, nous payons maintenant 5 milliards d'euros de soutien en moins pour la même quantité d'énergie verte produite en Mer du Nord", a commenté M. De Backer (Open Vld).Il espère donc pouvoir ouvrir le plan d'aménagement à de nouveaux espaces éoliens, ce dont profiteront non seulement des milliers de ménages, mais aussi le secteur industriel belge, fait-il valoir. "L'énergie renouvelable à prix abordable, c'est l'avenir", selon M. De Backer.
Lire l'article sur : rtbf.be
>> 21/03/18 : Nouveaux espaces envisagés pour des éoliennes en Mer du Nord
Le groupe Adams, basé à St Vith, dans la région de Liège en Belgique, dispose de trois nouveaux dispositifs de pointe Goldhofer pour le transport des pales de rotor d’éoliennes.Actuellement, la flotte du spécialiste belge du transport comprend plus d’une centaine de lignes d’essieux ainsi qu’une vaste gamme d’accessoires fournies par Goldhofer. Récemment encore, Adams a décidé de commander pas moins de 3 nouveaux dispositifs FSH 10, nouvellement lancés sur le marché. "Les pales de rotor pour l’industrie éolienne sont une cargaison quotidienne. Le FSH est une solution de transport efficace offrant des temps de transport beaucoup plus courts", explique Peter Adams, fondateur et directeur général de la société.
Lire l'article sur : constructioncayola.com
>> En Belgique, Adams a le vent en poupe
L'ancien joueur et chroniqueur néerlandais Jan Mulder a reçu une lettre de menace concernant sa position dans un débat sur les éoliennes à Oldambt. La lettre est parvenue chez lui jeudi comme l'a communiqué le média régional RTV Noord.
Lire l'article sur : 7sur7.be
>> Jan Mulder menacé après un débat sur les éoliennes
Ce site indique les principaux coopérateurs d'éoliennes citoyennes.
Le lien vers le site : ventsdusud.be
>> Ce site indique les principaux coopérateurs d'éoliennes citoyennes
Les éoliennes :
1. Sont un vecteur avéré de corruption,
2. Organisent le déni de démocratie,
3. Produisent une élévation anormale du coût de l’électricité,
4. Détruisent les paysages,
5. Détruisent les patrimoines,
6. Sont dangereuses pour les oiseaux et chauve-souris,
7. Induisent des bruits insupportables jusqu’à 900 m,
8. Génèrent des ombres portées sur plus de 2500 m,
9. Sont extrêmement couteuses pour les finances tant publiques que celles des citoyens,
10. Produisent de manière intermittente et incontrôlée,
11. Divisent la population,
12. Sont promues et vantées par tous les médias,
13. Obligent la construction et le maintien en stand-by d’unités pilotables,
14. Réduisent voire suppriment la rentabilité des unités pilotables, indispensables,
15. N’ont pas d’influence positive sur la production de CO2 comme erronément crié,
16. Créent environ 15 tonnes de déchets totalement non recyclables par éolienne (les pales) soit actuellement 1820 pièces pour un total de 9100 tonnes de déchets de 50 m de long et de 4 m de large qui –au mieux- se décomposeront en libérant hors contrôle leurs fibres.
Pour boucler le financement des trois derniers parcs éoliens programmés en mer du Nord, il faut un cadre régulatoire déterminant le niveau de soutien accordé aux infrastructures. Le temps presse, mais l'arrêté royale n'est toujours pas rédigé...Le 27 octobre dernier, après des discussions difficiles, le gouvernement fédéral annonçait un accord sur le niveau de soutien accordé aux trois derniers parcs éoliens programmés en mer du Nord, Northwester 2, Seastar et Mermaid. Le gouvernement acceptait de leur garantir un prix de 79 euros par MWh produit, prix de l’électricité comprise, pendant 16 ans. Soit un soutien total estimé à 2,2 milliards d’euros, qui représente une économie de près de 3 milliards d’euros par lechrapport au régime accordé aux deux parcs précédents, Rentel et Norther, et une économie de 3,9 milliards d’euros par rapport au système de soutien en vigueur sous la précédente législature.
Lire l'article sur : lecho.be
>> Toujours pas de cadre légal pour les trois derniers parcs éoliens en mer
Lire le pdf :
>> Toujours_pas_de_cadre_légal_pour_les_trois_derniers_parcs_éoliens_en_mer.pdf
L’Europe voit un risque dans chaque opportunité tandis qu’émerge un monde nouveau (Chine, Inde,…) qui décèle une opportunité dans chaque risque. Ainsi s’éteignent les civilisations, anesthésiées par la facilité et le confort hérités des générations qui se sont battues non seulement pour leur liberté, mais aussi pour produire une énergie source de vie et de richesses. Elles ne croient plus au progrès, elles jouissent avec précaution de leurs acquis. “ Iln’y a qu’une fatalité, celle des peuples qui n’ont plus assez de forces pour se tenir debout et qui se couchent pour mourir. Le destin d’une nation se gagne chaque jour contre les causes internes et externes de destruction." (Charles de Gaulle)
Lire l'article sur : contrepoints.org
>> L’Europe riche et frileuse se précipite vers sa ruine en se prosternant devant les chimères des énergies renouvelables. Par Michel Gay et Jean-Pierre Riou.
C’est un sujet occulté, caché et presque tabou qui commence enfin à émerger doucement mais sûrement. Et qui pourrait se transformer en énorme scandale d’État si rien n’est fait pour y remédier. Le président Emmanuel Macron et son ministre de l’Écologie Nicolas Hulot s’apprêtent à mettre en œuvre la construction des sept centrales éoliennes offshore initiées par Nicolas Sarkozy et François Hollande, projets qui constitueraient la plus grande extorsion de fonds jamais connue en France au détriment des contribuables et consommateurs de l’électricité. Les chiffres sont désormais connus, et le Figaro, dans un article de Luc-Antoine Lenoir au titre évocateur, « Éoliennes en mer : des 2CV au prix de Rolls-Royce », avait dévoilé le scoop du prix de rachat de l’électricité aux différents promoteurs de centrales éoliennes offshore pour un montant colossal de 221 euros le mégawattheure, information jusque-là non contestée.
Lire l'article sur : economiematin .fr
>> Éoliennes offshore : Macron et Hulot cautionneront-ils le racket du siècle ?
Après des années d’inertie liée à des procédures administratives complexes et des recours en justice à répétition, ça bouge enfin du côté de la filière éolienne offshore française. Selon les dernières déclarations du directeur du projet de parc de Saint-Nazaire en Loire-Atlantique, EDF EN, filiale de l’énergéticien français dédiée aux énergies renouvelables, serait « prête » à lancer dès « cet été » la construction du premier parc éolien en mer français, une fois le dernier contentieux juridique définitivement réglé.
Lire l'artice sur :
>> Éolien en mer : le premier parc français bientôt en construction ?
Le groupe américain investit 165 millions d’euros dans l’Haliade-X, un nouveau modèle en mer de 260 m de haut et 50 % plus puissant que ses concurrents.
Lire l'article sur : lemonde.fr
>> General Electric va développer une éolienne géante en France
Le ministère ne croyant pas lui-même à l’efficacité de sa « stratégie bas carbone », aucune amélioration n’est attendue dans son rapport avant … 2028 !
Lire l'article sur : contrepoints.org
>> Une stratégie « bas carbone » bien mal engagée